C'est une invitation au voyage et au dépaysement à travers des phénomènes naturels, des paysages grandioses et préservés, à la rencontre du monde sous marin et la vie animalière qui mettent en exergue notre planète pour les amoureux de la faune et de la flore.
(AD77 2FI11606) Carte postale, du tout début de 1900, de Gournay rive droite : le Pont métallique, une péniche d'habitation, des péniches de transport du sable de Marne.
Le même endroit aujourd'hui, la Promenade Marx Dormoy a très peu changé, avec un pont béton remplaçant celui en fer, la maison à gauche entrée de Chelles, est identique. Le piles du pont sont celles de la construction d'origine... La zone industrielle s'est déplacée sur le canal.
Ici la flèche indique les prises de vues, du Quai de Chétivet ou de la Promenade Marx Dormoy. A droite on distingue, dans cette carte de l'IGN de 1877 à 1887, la formation creusée dans les berges de Gournay de l'extraction du sable...
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Photo de la mare qui sera détruite avec l'aménagement de la nouvelle base de Vaires. Si les jeux olympiques ne sont pas programmés pour Paris, il est possible que tout le site reste en l'état ? Car il est évident que les aménagements comme les rivières artificielles, très couteuses en énergie, non rien d'obligatoire pour la pérennité du développement sportif de la base de loisirs de Vaires... La fréquentation par le public n'est en rien assurée pour le futur...
Voici leur emplacement sur la vue aérienne de Google:
Ces deux mares ont été peu photographiées, dépêchez-vous si vous voulez apporter votre contribution avec de belles vues de ces endroits qui vont probablement disparaître...
Nous avons fait annuler l'idée d'éliminer les vieux arbres sur tous les espaces alentours du lac, comme le demandait l'Agence des Espaces Verts. Cette photo, pour démontrer que les oiseaux préfèrent les grands et vieux arbres...
Voir le TEXTE de notre participation pour cette enquête publique:
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L'Etude d'Impact pour l'aménagement de la Base de loisirs de Vaires donnait l'obligation de recréer les deux mares qui seront détruites prochainement. Voilà qui est fait nous les avons vu. Avec le printemps elles vont vite se couvrir de végétation, ce qui va imanquablement attirer "Fifaille" la petite grenouille verte que nous avions interviewée le 17 juillet 2013 et qui s'inquiétait de perdre son habitation sans compensation...
Voilà donc les deux mares disponibles:
Elle chante toujours...
VOIR COPIL de juin 2015 suivi de la base de Vaires:
Voir les pages sur l'Enquête publique:
jusqu'au samedi 14 février 2015:
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En 1780 le Plan d'Intendance de Brou donne l'emplacement exact de l'étang et des trois bassins du Château de Brou sur Chantereine (AD 1C45/7). C'est en effet le Ru de Chantereine qui alimente ces retenues d'eau.
Voici donc surlignées en vert les surfaces en eau avant la Révolution: un étang et trois bassins (carte Google restituée dans la même position que le Plan d'Intendance qui n'est pas au Nord). On distingue que seule une petite partie de l'étang à gauche a été viabilisée et bâtie. Les côtes altimétriques donnent cet endroit de la ville au Sud de la rue des Roses comme Zone Humide.
Toujours sur Google, l'étang de Brou reconstitué avec le tracé du Ru de Chantereine et ce qui reste des trois bassins du Château. Le tout petit bassin ovale en haut à droite est une résurgeance d'eau pure, voir sa photo en fin de page...
Le minutieux Cadastre Napoléonien de 1824 (AD 4P 37/1184) ne mentionne plus que le tracé du Ru de Chantereine dans le Parc du Château. (Cette carte est au Nord Géographique.)
Voilà pour le constat de la disparition des étendues d'eau du Parc du Château de Brou sur Chantereine... (Le ru de Venante du bois de Brou est plus à l'est, voir:)
C'est à la Révolution que le Château a été abandonné pour être vendu en 1844 aux actuels propriétaires.
Charles-Henri FEYDEAU De BROU : Entré au Conseil d'Etat en 1787, il fut chargé des économats. Pendant la Révolution, il s'ensevelit dans une profonde retraite, où il termina sa carrière le 19 frimaire de l'an 11 (10 décembre 1802)...
"Nous pouvons donc en déduire que pendant la Révolution les bassins et l'étang ont été vidés pour récupérer et manger les poissons car la disette faisait rage en France et que plus personne au Château n'était en mesure d'en interdire l'accès... Poissons et écrevisses, du Conseiller d'Etat (1787), fils du Garde des Sceaux de France (1762-1763), ont fait le bonheur des quelques familles de Brou de l'époque..."
50 ans d'abandon et le morcellement du Parc ont eu raison du territoire humide du Château.
Voir la visite avec le SAGE Marne Confluence:
Communauté d'Agglomération de Marne et Chantereine
Dossier de l'Etat des Lieux 2011, page 71:
L'Etang du Château de Brou, au sud de la rue des Roses, est ici répertorié comme champ d'expension de crue. Et il y a effectivement une vanne d'arrêt sur le ru de Chantereine pour son réglage.
Voir la page sur le Moulin à eau et le Four banal du Château de Brou:
Lucien Follet
Avec une photo prise dans l'urgence, en effet le temps de régler l'appareil pour la précision et le Martin pêcheur n'était plus là... J'ai pensé que vous pourriez peut-être l'utiliser comme témoignage du renouveau de la nature sur les bords de Marne à Chelles.
Daniel
merci Daniel pour votre envoi, cela me permet de rappeler l'enjeu de la Réserve Naturelle des îles de Chelles:
Voir en pdf le dos de la carte:
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Je suis sur les hauteurs de Montfermeil en limite du site de Monguichet. Un couple d'écureuil roux vient s'approvisionner dans des sapins et des noyers du jardin.
Une perruche à collier de plus en plus invasive et de moins en moins sauvage vient casser la graine dans la cabane à oiseaux.
Gérard.
Merci à Gérard qui nous a fait parvenir ces deux photos témoignages, une bonne observation de la nature...
Le Montguichet fait l'objet d'une étude approfondie, par l'Agence des Espaces Verts, de protection de la biodiversité, ainsi que de la mise en place de cultivateurs bio dans les plaines agricoles:
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