Ce portrait d'un ami musicien de Léonard de Vinci nous apporte
un détail visuel de la Renaissance que seuls les lecteurs
de partitions comprendront aisément :
Voilà l'affirmation du progrès simplificateur de la science musicale et de son écriture.
il y a trois portées sur ce bout de papier dans la main du musicien:
Une portée à six lignes et deux portées à cinq lignes.
Et l'on nous a appris qu'à la Renaissance les compositeurs avaient
rapidement abandonné la portée à six lignes, car celle à cinq lignes
est vraiment beaucoup plus facile à lire....
Mais il est possible aussi que cette partition à six lignes soit l'écriture en tablature pour le Luth, chaque lignes étant alors l'image représentée des cordes de l'instrument...
Léonard de Vinci jouait bien du Luth ...
Peinture de 1485